Les Défenseurs de Turgon pendant la chute de Gondolin

Gondolin, cité de Turgon, fut découverte par Sauron, grâce à Hurìn qui, sans le savoir, était suivi depuis sa libération. Les Elfes, surpris par cette attaque en pleine nuit se réveillèrent et combattirent dans leur demeure. L'un de ces défenseurs de minuit était Gwendil, un Elfe de la garde personelle du Prince Turgon. Le combat débuta...

Un jeune elfe, Úrin, entendit frapper à sa porte. C'était un messager de Turgon, lui demandant de se hater d'aller à la Citadelle. Úrin faisait partie de la garde personelle de Turgon, où il s'était engagé, avec son frère Gwendil. Une fois arrivé à la Citadelle, on le dirigea vers Turgon à côté duquel était son frère ; toute la garde se dirigea vers l'entrée de la Cité. Une fois arrivé a l'entrée, ils virent de nombreuses créatures sortir de nulle part...

Les Créatures de Morgoth se déversaient en masse dans la plaine de Tumladen par le Col. Une lueur rouge les accompagnait, lumière de terreur et de destruction. Turgon prépara la défense de la Cité, bien qu'il sache très bien que c'en était fini. Il pensa à Gondolin qu'il avait édifié avec tant de fierté ; l'orgueil l'avait emporté et il avait négligé les avertissements d'Ulmo par la bouche de Tuor. Il se retrancha dans sa Tour, revêtit son armure et empoignit sa grande épée, Glamdring.

Turgon suivi de sa garde se dirigèrent vers la salle du trône, là ils barricadèrent les grandes portes avec tout ce qu'ils avaient entre les mains puis ils se mirent en position de tirs avec leus arcs.

Les autres régiments se placèrent en défense des remparts, qu'ils avait toujours cru imprenables. Il se placèrent et se mirent en position de tir, puis attendirent l'Armée Noire.

Les Défenseurs de Turgon pendant la chute de Gondolin V36

Les Défenseurs de Turgon pendant la chute de Gondolin V36

Quand l'armée noire fut a portée de tir, les archers décochèrent chacuns deux flèches de suite sous les ordres de leurs généraux ; ils firent plusieurs fois cette manoeuvre jusqu'à que la Porte Principale de Gondolin fût cachée par les orques. Les dragons, créature de feu, n'arrêtaient pas de harceler les archers qui ne tardèrent pas à fuir en bas des remparts, où les attendaient les orques. Turgon, de sa grande Tour Blanche, vit l'action comme une défaite sans espoir, et se préparait à la mort. Mais peut après, il reprit courage grâce à ses gardes qui obéissaient à leur Roi.

Turgon serrait fort son épée qui flamboyait d'un feu plus brillant. Il s'apprêta à donner l'ordre aux archers postés tout en haut des remparts de sa Tour de tirer sur les Orques et les Orientaux qui commençaient à progresser dans les rues blanches de Gondolin. Ils n'avançaient que lentement, tombant sous les flèches des Elfes. Ces derniers combattaient avec l'énergie du désespoir, et faisaient payer cher aux Orques leur invasion de l'Echoriath. Turgon lança enfin l'ordre de tirer. Les premiers rangs des Orques tombèrent, vite remplacés par les rangs suivants.

Moriagalos était fier. Enfin il connaissait la guerre. Il faisait partie de la garde personnelle de Turgon et était impatient de pouvoir servir son roi bien-aimé. Son frère lui avait offert une somptueuse épée pour cela et il la regardait souvent d'un air rêveur.
Mais il avait peur :

*Ressaisis-toi ! Ne pense qu'à servir ton maître* se disait-il.

Il entendait les grondements des créatures au dehors et était prêt à en découdre.

Turgon était fier de la vaillance et de l'opiniâtreté de ses Grades qu'il lisait dans leurs yeux. Ils se postaient aux remparts et faisaient face aux orques qui avancaient. Il vit passer Tuor qui profitait des derniers instants pour emmener les femmes, les enfants et les vieillards en dehors de la Ville pour leur faire fuir Morgoth. Certains jeunes Efes, tremblants, avait la confiance qui fléchissait ; Turgon, dans sa sagesse, décida qu'il fallait sauver quelques Elfes de Gondolin pour pérpétuer la mémoire des Noldors. Il dit donc aux Elfes fléchissants de fuir avec Tuor ; en effet, dans leur état, ils ne pourraient pas combattre. Il ordonna à Glorfindel aux Cheveux d'Or de veiller sur leur fuite et de les protéger.

Quand les orques arrivèrent à la base de la Tour, tout les Elfes qui étaient à l'intérieur décochèrent une volée ; et à chaque flèche, il y avait un ennemi en moins mais à partir du moment où ils furent dans les escaliers une lutte acharnée entre chaque étage débuta. Les elfes se battirent avec courage mais le courage ne suffit pas et les couloirs sombres de Mandos furent envahis par beaucoup d'âmes d'Elfes de Gondolin.

Turgon lui-même se battait avec acharnement. Il semblait invincible ; aucun coup ne le touchait et un monceau d'ennemis s'étalait autour de lui. Sa Garde formait un carré que les Orques ne pourraient vaincre par les armes. Les Orques et les Orientaux reculaient, terrifiés par la lueur dans les yeux des Eldar.

Gwendil, taché de sang aussi bien noir que rouge, commençait à perdre l'esprit, son carcoit vide, ses forces le quittant et son épée qui ne lui appartenait pas (c'était celle d'un Elfe mort au combat, la sienne étant partie dans le vide avec un Orque), était fendue. Tout ses facteurs étaient désastreux pour un Elfe qui venait de la garde personelle de Trurgon. Son frère à ses côté, ensemble, ils se battirent comme des morts-de-faims cherchant sans cesse a protéger leur Roi et à tuer le plus grand nombre d'ennemi.

Moriagalos, dans sa prescience, évita une volée de flèche venant des hauteurs l'Echoriath. Il se battait à côté de Turgon et l'observait d'un oeil. Il pensait qu'il devait être le plus beau des Elfes car il terrifiait même les Orque par sa lumière.

Turgon était fier de ses soldats. Tous les autres avaient fui avec Tuor ou avait rejoint les Cavernes de Mandos. Ils se battaient et tombaient les uns après les autres, mais les Orques n'avaient pas encore le dessus.

Dans sa fureur de tuer tot orcs qui s'aprochaient de lui, Gwendil fut transpercer d'une lance et mourut comme un héros prés de son roy et de son frère. Avant de quitter le monde des vivants il cria en une langue imcompréensible aux oreilles des elfes et tua un dernier démon.

Nhôrk soldat d'un régiment d'orc commenca à gravir la tour tout en dechiquetant homme et femme elfes. Quand Nhôrk arriva dans la salle du trône il fut surpris de voir encore des elfes debout arme à la main. Il aperçut Moriagalos entouré d'une quarantaine de survivant se sacrifiant pour la vie de leur souverrain. D'un coup Nhôrk fut heurter d'une flèches dans le bras droit qu'il arracha et brisa la flèche en deux.

Gerr'k est un goblin pas plus grand qu'un hobbit, il tient a sa main droite un morceau éguisé, taché de trace de rouille et à sa main gauche une rondache ( bouclié rond) coupé en demi-lune. Ses principaux habils sont des haillons de peau sechés d'humains ou bien de bêtes. Quand il entrit dans la grande cité blanche, son premier reflexe fut de s'écarter lors du pasage des Orcs, pendant la montée de escaliers qui menaient aux étages supérieurs.

Úrin fit acte de Bravours contre les assaillant et, dans sa rage, il Osa s'attaqué à lui seul un bataillons d'Orc mais il fut vite aiider par de nombreux elfe qui s'étaient cachés à côter de la scène de bataille. Rapidement les Elfe éliminèrent le Bataillon mais à ce moment la ils virent que les Orc était arrivé à la salle du Trône et tous désespérairent et attaquèrent de front les assaillants.

Les quelques goblins survivant au flèches et aux dagues meurtrières des elfes s'en prirent aux elfes qui gisaient a terre attendant que quelqu'un viennent assouvir leur soiffe de mourir, les goblins firent donc le travail de nettoyage du sol, arrachant parfois un bon beaf steak d'elfe. Ensuite, il furent massacré sauf certains dont Gerr'k. Un elfe se croyant puissant attaqua le goblin experimeté, à ses dépent il fut saigné comme un mais Gerr'k eut le privilège de se faire entailler le bras.

*Une sucatrice de plus !*

Úrin, dans sa rage, tua un grand nombre d'Orques mais il mourra, transperser d'une flèche au coeur et au ventre, la, il tomba et voyant sa mort proche, il dit au guerrier Elfe le plus proche :

Toi, J'ai un message pour toi, si tu retrouve le roi, dit lui que la cité est prise et que toutes nos force n'ont rient pus faire contre l'armée d' Orques.

Úrin chuchotta à l'oreille autre chose à l'oreille de l'Elfe, des chose qui influancerait peut-être la guerre

Si tu arrive à t'échapper d'ici, fais savoir à tous les peuples encore libre que nous avons réussit à tuer un Balrog et que nous avons pus maintenir les Orques à distance assez lomgtemps pour que des Elfes puisse s'échapper, même si, ils ont du se faire rattraper, dit-leur de chercher dans les montagnes les survivant !

A se moment la, l' Elfe ne pouvait plus respirer mais il dit en crachant du sang :

Va maintenant et n'oublis jamais se que je t'ai dit.

Úrin mourrut dignement repossant sur le sol mais au bout de plusieurs heure, il ne restait rien de lui, pas même ses vêtement; s'était l'oeuvre des Orques !

Gerr'k ne voyantplus que quelques elfes debout sur une imensse colinne de cadavres orcs. Tout orcs qui s'en approchaient fut tué, la plupart des elfes avaient repris leurs arcs et tuaient par dizaines chacuns. Ils avaient largement prouvé leur vaillance. Gerr'k attaqua à son tour les derniers elfes, il s'acrocha au bras de l'un des leurs et le mordit.

*Miam !*

Turgon assistait, désespéré, à la fin de sa Cité bien-aimée. En poussant un grand cri de rage, il chargea les Orques toujours plus nombreux. Dans sa fureur blanche, il rameuta les derniers Elfes et fit reculer les Orques. Ceux-ci, leur frayeur passée, contre-attaquèrent et submergèrent Turgon et son dernier carré. Ils le mutilèrent et le jetèrent à bas de sa Tour Blanche.